Aujourd’hui on va parler de fast learning, ces micro-apprentissages que l’on peut faire à partir du smartphone, c’est du contenu de snacking, des sortes de « nuggets de l’information ».
PPC : Vous avez tous votre smartphone dans la poche ? Cet outil qu’on prend et si jamais on l’oublie à la maison en allant au boulot, on revient le chercher, sinon c’est la catastrophe !
Le microlearning/fast learning est une technique d’apprentissage basée sur des contenus court, des consommables basés principalement sur smartphone.
Apprentissage rapide, synonyme de l’apprentissage de forme courte, des « morsures », rapidité à laquelle un apprentissage peut-être visualisé et compris par l’apprenant estimé de 15 à 20 minutes car après on décroche. La fast learning, il faut dire court, est-ce le fast-food de l’apprentissage ?
Format d’apprentissage qui participe à un processus global d’acquisition de savoir, savoir-faire, savoir-être, ils ont des caractéristiques adaptées à notre époque, notre temps, nos modalités grâce à nos technologies, mais attention, l’outil ne fait pas la fonction « Ce n’est pas parce qu’on sait utiliser un pinceau que l’on sait peindre ». Peut-être une limite du fast learning ?
Article de tissot-formation.fr :
Objectif : Permettre aux apprenants d’enregistrer rapidement des informations indispensables ou nouvelles pour exécuter les missions qui leur sont confiées. Les grandes entreprises sont nombreuses à utiliser cette technique d’apprentissage auprès de leurs salariés pour aborder des points très précis. L’objectif est avant tout d’être plus efficace et de développer une idée lors de chaque session, un apprentissage fractionné qui semble performant.
Le fast learning passe beaucoup par la vulgarisation, ne veut pas dire faux ou raccourci, la différence entre vulgarisation et enseignement scientifique ou technologique paraît claire, dans un cas on lutte contre la pensée magique et on donne des clés pour montrer que le monde n’est pas fait de lutin, de fée et de diable. Dans l’autre, il faut soit communiquer des connaissances mobilisables dans une usine par un ingénieur soit mis sur la piste de la recherche scientifique laquelle est du maniement d’équation et non pas de discours vaguement poétique.
Réflexion sur le fast learning, quels sont les pré-requis ? Il n’est pas selon lui, celui de l’acculturation, ce sont des formations qui ont pour but de favoriser la montée en compétences de ses collaborateurs ou de soi-même pour les diriger vers une expertise dans le but de les emmener à des missions beaucoup plus complexes.
Signe d’un fast-learner :
Mode d’apprentissage comme les autres dans la mesure où il nécessite du sens, de la motivation et de l’attention de la part de l’apprenant. L’aspect ludique et répétitif peuvent les favoriser, ils ne sont pas automatiquement acquis quand on utilise le fast-learning.
Pour aller plus loin : il faut savoir raconter une histoire pour améliorer l’apprentissage (une histoire racontée visuellement est mieux retenue) liée à l’émotionnel.
Social-learning : appétit au domaine des nouvelles technologies
🎙Le Fast Learning, on en parle tous ensemble? #BonjourPPC#Podcast#TransfoNum#formationhttps://t.co/zP2WEM480r
— PPC (@PPC) 22 mars 2019